La sévère sécheresse qui frappe le Maroc continue de peser lourdement sur l’agriculture nationale.
Le gouvernement est contraint de faire des arbitrages.
La priorité est donnée à l’eau potable, l’abreuvage du cheptel et certaines cultures à caractère stratégique.
En matière d’irrigation, une politique restrictive est décrétée.
Excepté le Loukkous et le Gharb, tous les autres périmètres irrigués connaissent une rationalisation draconienne des apports en eau.
Il a été décidé de suspendre l’irrigation à partir des barrages agricoles des terres situées dans les provinces de Tadla et d’Al Haouz ainsi que dans les régions de Doukkala et Drâa-Tafilalet.
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Source : Sécheresse: le potentiel de production et d’export impacté