Des études très récentes sur le SARS-CoV-2 confirment encore le potentiel d’Artemisia annua dans la lutte contre l’épidémie.
Une étude encore en révision datant du 13/03/2020 tente de simuler numériquement l’inhibition chimique de molécules tests sur la protéase principale du SARS-CoV-2 (PDB ID : 6LU7).
Parmi les molécules ayant le plus grand potentiel d’inhibition, quatre font partie des principes actifs que l’on retrouve dans Artemisia annua : lutéoline, kaempferol, quercétine et apigénine [5][6].
Ces résultats font écho à une autre étude qui passe au crible via des supercalculateurs les molécules pouvant potentiellement empêcher le virus de se fixer aux récepteurs ACE2 situés notamment dans les poumons.
L’étude conclut que les 3ème et 5ème meilleures candidates sont la lutéoline et la quercétine, toutes deux présentes chez Artemisia annua.
Ces résultats récents viennent étayer le bien-fondé de l’administration d’Artemisia annua comme complément de traitement dans la lutte contre le COVID-19.
Source : Note sur Artemisia annua ou « armoise chinoise » –
Voir aussi le reportage de France 24 qui traitait déjà de ce sujet : Malaria business : les laboratoires contre la médecine naturelle ? – Reporters