đŸ‡Č🇩-Stress et pĂ©nurie hydriques : de l’eau Ă  tout prix, peut ĂȘtre…mais surtout, quand il y en a,… Ă  utiliser avec excellence et parcimonie

Gaspillage, surexploitation des eaux souterraines, pollution,envasement des barrages, dĂ©sĂ©quilibre entre bassins, retard dans la rĂ©alisation d’infrastructures,tarification inadaptĂ©e, ...

Voilà, entre autres, les dysfonctionnements relevés par la Cour des Comptes.

Au vu de l’importance des enjeux, les magistrats qui ont menĂ© ces investigations, au cours des annĂ©es 2019 et 2020, appellent Ă  apporter plusieurs rĂ©glages Ă  la stratĂ©gie de l’eau engagĂ©e jusqu’à prĂ©sent.

Et pour cause : « Le Maroc figure parmi les vingt pays les plus stressés au monde », constate la Cour des comptes. Et ce, avec un potentiel en ressources hydriques estimé à 22 milliards de m3 par an. 

Les eaux superficielles et souterraines mobilisĂ©es sont utilisĂ©es principalement dans l’irrigation (jusqu’à 88%), la fourniture d’eau potable et la satisfaction des besoins des autres secteurs Ă©conomiques (jusqu’à 12%)

Des missions rĂ©alisĂ©es par la Cour des comptes, il ressort que la gestion du secteur de l’eau doit dĂ©passer plusieurs insuffisances afin de relever les dĂ©fis liĂ©s Ă  la mobilisation, Ă  la valorisation et Ă  la prĂ©servation des ressources en eau, ainsi qu’à la planification, Ă  l’organisation et au financement du secteur de l’eau.
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Source : Stress et pĂ©nurie hydriques : ce n’est pas seulement la faute Ă  la pluviomĂ©trie (Cour des comptes) - MĂ©dias24

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