Faire de vrais repas
Désamorcer une crise
1. J’accepte l’envie de manger. Pas question de s’empiffrer avec culpabilité debout devant le frigo. On s’attable avec l’aliment convoité dans une assiette, avec une boisson.
2. Je mange en pleine conscience. On porte l’aliment à sa bouche, on déguste lentement et on se focalise sur ses sensations (texture, goût…).
3. Je trouve le point de félicité. C’est la juste dose qui permet d’obtenir le plaisir maximal. À cette bouchée-là, on arrête.
L’organisme a besoin d’énergie tout au long de la journée :
50 à 60 g de pain beurré ou 40 g de céréales, 1 fruit et 1 laitage au petit-déjeuner, crudités,
100 à 150 g de féculents cuits, légumes, 120 g de viande, poisson, tofu ou œufs, laitage et fruit au déjeuner et au dîner.
On conserve gras et féculents. Choisis et dosés, ils rassasient sans menacer : un quart d’assiette de féculents à index glycémique bas (pâtes et riz complets, quinoa, sarrasin, légumes secs…) et 1 cuillerée à soupe d’huile (colza, olive…) par repas.
On instaure un goûter. Il rythme la journée et empêche de craquer : 1 boisson chaude non sucrée + 1 carré de chocolat noir + 1 fruit + 30 g d’oléagineux ou 1 laitage nature.
À lire
Source : Six astuces de psys et nutritionnistes pour éviter de manger sans avoir faim – Madame Figaro