Ces centres de santé fourniront une gamme diversifiée de services de santé et un panier de traitements incluant :
- les consultations médicales générales et spécialisées,
- les soins infirmiers,
- le suivi des maladies chroniques, en particulier le diabète et l’hypertension artĂ©rielle, ainsi que
- le suivi de la santĂ© de la mère et de l’enfant,
- la santé scolaire, et
- les services de sensibilisation et d’Ă©ducation Ă la santĂ©.
Ces Ă©tablissements visent Ă renforcer l’offre de soins dans la rĂ©gion de Souss-Massa et Ă rapprocher les services de santĂ© des citoyennes et des citoyens ciblĂ©s par ces Ă©tablissements.
À Chtouka Ait Baha, ont été lancés :
-
- 2 centres de santé ruraux de niveau II :
- “Belfaa“,
- “Sidi Abdellah“,
- 4 dispensaires ruraux :
- “Taddart“,
- “Imzilen“,
- “Tiouaziouin” et
- “Zao“.
- 2 centres de santé ruraux de niveau II :
Dans la prĂ©fecture d’Agadir-Ida-Outanane :
-
- 2 centres de santé urbains de niveau I :
- “Salam” et
- “Taddart“,
- le centre de santĂ© urbain de niveau II “Tikiouine” et
- le centre de santĂ© rural de niveau II “Amskroud“, et
- le dispensaire de santĂ© “Boushab“.
- 2 centres de santé urbains de niveau I :
 Dans la prĂ©fecture d’Inezgane Ait Melloul :
-
- le centre de santĂ© urbain de niveau I “Ighalen“,
- le centre de santĂ© rural de niveau II “Azrou“,
- le dispensaire rural “Dar Bencheikh“.
Ă€ la province de Tiznit :
-
- le centre de santĂ© urbain de niveau I “Chefchaouni“,
- les centres de santé rural de niveau I
- “Aday“,
- “Ait Oufqua“,
- ” IguirMouss “,
- “Tafraoute El Mouloud“,
- “Tasrirt,”
- les centres de santé ruraux du niveau II
- “AfellaIghir”,
- “Ait Ahmed“,
- “Tighmi“,
- les dispensaires ruraux
- “Assaka“,
- “Tisgharine“,
- “Izerbi“.
Par ailleurs, à Taroudant ont été lancés :
-
- le centre de santĂ© rural de niveau II “Ksiba”,
- les centres de santé ruraux de niveau I
- “Tazemourte“,
- “ Imlil“,
- “Lakhnafif“
- “Sidi Bou Moussa“,
- les dispensaires ruraux
- “Boukhachba“,
- “Al Asla “
- “Sidi Moussa“.
Source : Souss-Massa : L’offre en structures de santĂ© se renforce | L’Economiste