🇧đŸ‡Ș-Bruxelles, c’est comme une famille !

 

« À bien y regarder, Bruxelles, c’est un peu comme une famille.

Avec le haut de la ville et le bas, avec ses riches et ses pauvres, ses fiers et ses discrets, avec ses quartiers de noblesse et ses marolles, ses avenues arborĂ©es et ses ruelles suintant la graisse, ses vitrines aux noms hors de prix et ses enseignes de premiers prix, ses hĂŽtels de maĂźtres cossus et ses citĂ©s ouvriĂšres, ses parcs luxuriants et ses squats taguĂ©s, ses nouveaux riches et ses anciens pauvres, ses sans-logis et ses « sans difficultĂ© financiĂšre », ses friches industrielles gentrifiĂ©es et ses hauts lieux bourgeois-bohĂšmes
 bref, une famille cosmopolite, un organisme vivant, donc mutant, bouillonnant, tentaculaire, faisant de cette ville Ă  nulle autre pareille un UNICUS dans le chorus des capitales mondiales »…

« VĂ©ritable creuset de vitalitĂ© artistique, culturelle, gastronomique, acadĂ©mique, Bruxelles est aujourd’hui reconnue par le monde entier comme un rĂ©acteur « cardioactif ».

Elle irradie le cƓur des gens par son humour, sa gentillesse, sa simplicitĂ©, son humilitĂ© mĂȘme. Son dialecte savoureux, mĂ©lange improbable de flamand et de français, est Ă  l’image de sa crĂ©ativitĂ©.

Cette langue totalement unique permet de dire des choses qu’aucune autre au monde n’arriverait Ă  synthĂ©tiser »…

« L’idĂ©e d’appartenir Ă  une ville qui n’a pas d’autre pareille, oĂč la qualitĂ© de vie passe d’abord par la nature bienveillante des rapports entre les gens, oĂč le calme et la bonhommie s’enracinent profondĂ©ment dans le cĂŽtĂ© dĂ©bonnaire, sans insolence, de son urbanitĂ© contemporaine.

À Bruxelles, on reste surpris d’ĂȘtre surpris.

On ne se prend pas la tĂȘte, on ne se monte pas le bourrichon et on n’est pas blasĂ©.

OĂč que vous alliez Ă  Bruxelles, il y a un endroit que vous vivrez profondĂ©ment, et vous rentrerez chez vous heureux de ce voyage en absurdie, par l’humour, l’autodĂ©rision, la provocation.

Il y aura toujours un moment oĂč vous serez ravis de rentrer d’une mĂ©gapole mondiale, et vous sourirez de ce curieux chaos organisĂ©, aggravĂ© d’un trafic congestionnĂ© par des travaux insensĂ©s.

Vous vous amuserez sur les terrasses d’un de ces quartiers gentrifiĂ©s, avec leur petit cĂŽtĂ© provincial un peu snob, oĂč les cyclistes Ă©crasent les automobilistes, et oĂč les habitants semblent prendre la ville d’assaut, Ă  vĂ©lo, par la face nord, avec l’équipement d’un alpiniste de haute montagne.

Ou vous irez vous perdre dans cette ancienne campagne laitiĂšre d’Uccle, oĂč les autochtones Ă  l’accent reconnaissable s’appellent tous par leur prĂ©nom.

Ou bien, vous finirez par ĂȘtre conquis par le charme indĂ©niable de ces nouveaux projets de la couronne nord de Bruxelles, Ă©tonnĂ©s de dĂ©couvrir ces quartiers « verdurisĂ©s et apaisĂ©s », anciennes friches industrielles, avec leurs projets culturels et urbanistiques ambitieux, rendant cette partie de la ville attractive, alors qu’il y a peu, tel un goulag, on pensait que n’en revenait que celui qui n’y Ă©tait jamais allé ».

DĂ©finitivement : Constantin Chariot, l’homme qui vous fera aimer Bruxelles !

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Source : Bruxelles, c’est comme une famille ! – Highlevelcom.be

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